Le 19 novembre dernier, l’AFNOR organisait une journée dédiée à la toute nouvelle norme ISO 56001.
Encore une norme ?
Oui, mais celle-ci se distingue des autres : elle s’adresse aux entreprises qui souhaitent faire reconnaître la qualité de leur système de management de l’innovation (SMI). Pas de panique toutefois, cette norme de certification est volontaire et s’adresse uniquement aux entreprises désireuses de valider leur capacité à innover efficacement, durablement et avec succès.
Tout cela vous semble très jargonneux ? Et pourtant, derrière ces termes techniques se cache une opportunité réelle : celle de transformer vos (bonnes) idées en véritables réussites.
On aime penser que l’innovation, c’est le fruit de la créativité pure, de l’instinct ou même d’un coup de chance. Mais la réalité est tout autre : innover, c’est un processus structuré. Et l’ISO 56001 est là pour vous guider dans cette démarche.
Loin d’être un frein, cette norme propose une méthodologie pour :
En bref, l’ISO 56001 ne vous indique pas comment innover ni quel produit développer, mais elle vous aide à structurer vos démarches pour créer un environnement propice à l’innovation.
C’est vrai, une norme, ça peut faire lever les yeux au ciel ou même peur. Le terme évoque souvent des contraintes administratives plutôt qu’un levier pour transformer un marché. Pourtant, l’ISO 56001 adopte une approche différente. Voyez-la comme une boîte à outils pour :
L’idée ? Prendre du recul, revoir vos pratiques pour les adapter et ainsi transformer vos stratégies d’innovation en un atout stratégique durable, un réel avantage compétitif.
Pour les petites et jeunes entreprises, la norme ISO 56001 peut sembler ambitieuse. Mais pas de panique : HDFID, via le réseau Enterprise Europe Network (EEN), vous propose deux outils pratiques et accessibles pour vous accompagner dans la structuration de votre management de l’innovation :
Avec ces outils, conçus pour s’adapter à votre réalité, vous aurez tout pour innover efficacement et pourquoi envisager une future certification !
L’ISO 56001 n’est pas une obligation, c’est une opportunité. Une manière de professionnaliser vos démarches, de maximiser vos chances de succès et d’assurer la pérennité de vos innovations.
Curieux ? Motivé ? Sceptique mais intrigué ? Contactez HDFID ou le réseau EEN et découvrez comment ces dispositifs peuvent vous accompagner pour transformer une norme en véritable levier de croissance.
Pour en savoir plus sur les normes ISO liées à l’innovation, vous pouvez
Contact : europe@hautsdefrance-id.fr
Dans le cadre du salon MedFit organisé par Eurasanté, nous organisons une conférence dédiée au partenariat de recherche autour de la thématique de l’humain augmenté.
Cet événement réunira experts et chercheurs pour explorer les technologies qui repoussent les limites du corps humain, que ce soit pour améliorer les soins, réparer les capacités physiques, ou les amplifier.
Au programme : présentation de projets novateurs, retours d’expérience inspirants, et tables rondes prospectives sur l’avenir de l’humain augmenté.
Valorisation & Transfert de Technologie
Découvrez comment les SATT, les plateformes technologiques, et les programmes collaboratifs (Labcom, thèses CIFRE) facilitent le rapprochement entre la recherche académique et l’industrie, et comment ces dispositifs peuvent vous aidez à accélérer l’innovation.
Introduction Sectorielle
Posez les bases avec une vue d’ensemble sectorielle. Découvrez les chiffres clés de l’industrie des technologies médicales et les tendances qui transforment ce secteur.
Revue de Projets Innovants
Découvrez des projets disruptifs qui repoussent les frontières de la technologie médicale. Ces startups et initiatives sont à l’avant-garde de l’innovation, et leurs solutions visent à améliorer radicalement les soins aux patients et à révolutionner les dispositifs médicaux. Vous aurez l’opportunité de comprendre leurs approches et leurs contributions au secteur de la santé.
Table Ronde 1 : Valorisation & Recherche Collaborative
Thème : Comment renforcer les liens entre la recherche académique et les entreprises pour réduire le « time to market » et maximiser l’impact pour les patients ?
Cette table ronde mettra en lumière les avantages (et les obstacles actuels) à la collaboration entre le monde académique et celui de l’entreprise. Les intervenants partageront leurs expériences et les meilleures pratiques pour renforcer ces partenariats.
Table Ronde 2 : Technologies, Santé et Éthique
Thème : Quels sont les enjeux éthiques et technologiques liés aux innovations médicales ?
Cette table ronde aborde les promesses des technologies en matière de santé, mais également les défis éthiques qu’elles soulèvent.
Cette session est l’occasion idéale pour les professionnels du secteur de la santé, les startups, les chercheurs et les investisseurs de découvrir des opportunités uniques, de se connecter avec des experts et de réfléchir aux futurs enjeux de la santé et de l’innovation technologique.
Participez à cette session pour explorer les tendances, collaborer, autour avenir de la santé pour les générations à venir.
Pour vous inscrire envoyer un mail à abeague@hautsdefrance-id.fr
Établir un partenariat de recherche entre une entreprise et une université ouvre la porte à des avancées technologiques significatives et des bénéfices mutuels substantiels. Cependant, pour garantir le succès de cette collaboration, une planification méticuleuse et une communication efficace sont essentielles. En effet, il est crucial de clarifier de nombreux points et d’envisager différents scénarios pour éviter les déconvenues. Quels sont ces points à ne pas oublier ? Voici une petite check-list à cocher avant de vous lancer pour un projet qui roule !
Pour échanger en confiance et avec sincérité, pensez à établir un accord de confidentialité (NDA). Cet accord protège les informations sensibles partagées durant la collaboration, empêchant toute divulgation non autorisée. Grâce à cela, vous pouvez discuter librement des détails techniques et commerciaux sans craindre que vos secrets ne soient révélés. En somme, le NDA instaure un climat de sécurité, essentiel pour une coopération fructueuse.
Vous avez trouvé un partenaire potentiel qui partage votre intérêt pour collaborer ? BRAVO ! Une fois le premier contact établi, il est crucial d’éclaircir les buts spécifiques et les motivations de chacun. Commencez par lister les objectifs de recherche et les résultats attendus de part et d’autre. Assurez-vous que vos ambitions sont compatibles et discutez de leur flexibilité. Cette étape est essentielle pour aligner vos visions et éviter les malentendus futurs.
Vous vous êtes mis d’accord sur les objectifs du projet, bravo ! Maintenant, il est temps de discuter des moyens nécessaires pour les atteindre. Mais aussi (et surtout !) de ceux que vous et votre futur partenaire pouvez et souhaitez consacrer à ce projet. Sont-ils suffisants ? Sont-ils cohérents avec vos attentes pour le projet ? Parlez des personnels, des équipements, des consommables, mais aussi du savoir-faire (secret) et des licences. Qui met quoi dans le pot commun ? Assurez-vous que tout soit clair et équitable pour éviter les malentendus et les frustrations.
C’est le moment de mettre de côté votre optimisme et de penser à TOUT ce qui pourrait mal se passer. Problèmes financiers, techniques ou humains : pour chaque souci potentiel, discutez avec vos partenaires des actions à mettre en œuvre. Préparez un plan B et déterminez les sanctions si l’un des partenaires ne respecte pas les termes du partenariat. En anticipant les galères, vous serez mieux préparé et éviterez les mauvaises surprises.
Décomposez le projet en phases (lots ou work packages) puis en tâches, et fixez des jalons ainsi que des « no go ». Créez un calendrier détaillé incluant les étapes clés et les dates butoirs. Définissez comment évaluer le succès de chaque étape et le passage à la suivante. Soyez précis mais restez flexible, en prévoyant de la place pour les imprévus. Parce qu’un bon plan, c’est comme un bon GPS : il doit savoir réajuster la route en cas de pépin.
Mettez en place une structure de gouvernance pour superviser et coordonner le projet, surtout s’il s’agit d’un consortium. Assurez-vous d’avoir des canaux de communication clairs et réguliers pour un suivi et une collaboration fluide. Mais surtout, définissez clairement les responsabilités de chaque partie prenante. Qui fait quoi, quand et comment ? Plus c’est clair, mieux ça roule.
Après quelques mois (voire années) de travail complexe mais productif, vous avez atteint les objectifs fixés. Dès le début du projet, définissez les critères permettant d’évaluer le succès. Et surtout, si succès il y a, à qui reviendra le droit d’exploiter les résultats ? Publication, brevet, licence, commercialisation : autant de sujets à partager. Définissez le partage de manière équitable, en tenant compte des apports de chacun. Pensez aussi à capitaliser sur votre expérience pour que vos futurs partenariats soient encore plus fluides et fructueux. Parce qu’on apprend de ses succès, mais aussi de ses galères !
Vous vous lancez dans un projet collaboratif, vous composez donc une équipe. Soyez transparent sur vos objectifs, compétences et ressources avec vos partenaires et veillez à créer un climat de confiance. Ne soyez pas trop agressif en négociant, vous souhaitez créer une équipe où tout le monde y gagne (et faire avancer la recherche). Pensez aussi à impliquer vos collègues juristes mais aussi commerciaux ou gestionnaires tôt dans les discussions. Ils pourront vous accompagner à chaque étape, défendre les intérêts de votre structure et vous aider à formaliser les échanges et établir une contractualisation fidèle aux discussions.
Pourquoi c’est une mauvaise raison ?
Ah, l’administration française, connue pour ses labyrinthes bureaucratiques ! Pourtant, de nombreux efforts ont été déployés pour simplifier les démarches administratives liées aux collaborations avec la recherche. Les universités et les chercheurs ont bien compris les obstacles que cela peut représenter et ont mis en place des solutions pour vous accompagner. Des services dédiés à la gestion des partenariats sont à votre disposition pour vous guider et accélérer le processus.
De plus, plusieurs plateformes vous permettent de solliciter facilement l’expertise des chercheurs pour des projets spécifiques. Fini le casse-tête administratif, place à une collaboration fluide et efficace !
Pourquoi c’est une mauvaise raison ?
Mettons fin à ce mythe : lorsque vous optez pour un contrat de prestation avec un laboratoire ou une plateforme, vous êtes le donneur d’ordre et donc propriétaire des résultats. Les laboratoires n’ont pas le droit de publier leurs travaux sans votre accord. Pour sécuriser vos échanges, pensez à signer un accord de confidentialité (NDA) avant de commencer les discussions.
En cas de partenariat, clarifiez dès le départ les modalités de partage de la propriété des résultats, ainsi que les responsabilités de chaque partie. Un contrat bien rédigé, et vous voilà protégé. Les services de partenariats des universités et les SATT sont là pour vous accompagner. Et rassurez-vous, publication scientifique et dépôt de brevet ne sont pas incompatibles : avec une gestion chronologique appropriée, chacun peut y trouver son compte.
Pourquoi c’est une mauvaise raison ?
C’est vrai, les chercheurs rêvent de prix Nobel et vous, de parts de marché. Mais ces objectifs peuvent parfaitement s’aligner ! Une communication claire dès le départ permet de définir des objectifs communs. Les institutions académiques ne sont pas des forteresses : elles sont prêtes à s’adapter et à répondre aux besoins des partenaires industriels. Les chercheurs, quant à eux, sont désireux de confronter leurs théories à la réalité du terrain. Les nouvelles orientations nationales encouragent d’ailleurs ce rapprochement avec le monde économique. C’est le moment idéal pour une collaboration gagnant-gagnant !
Pourquoi c’est une mauvaise raison ?
Ne vous laissez pas effrayer par les coûts initiaux. Les collaborations avec le monde académique peuvent vous ouvrir des portes vers des subventions, des avances remboursables et des crédits d’impôt, compensant largement les dépenses engagées. Les projets incluant une collaboration avec un laboratoire académique bénéficient souvent de financements bonifiés.
Les thèses Cifre, soutenues par des dispositifs régionaux, offrent un accès à des recherches de pointe à moindre coût. Le salaire du doctorant peut même être inclus dans les dépenses éligibles au CIR. Et si vous embauchez un jeune docteur, vous pourriez récupérer jusqu’à 120 % de son coût grâce au CIR. Toujours convaincu que la recherche coûte cher ?
N’oubliez pas les bénéfices à long terme en termes d’innovation et de compétitivité ! L’expertise des chercheurs, l’accès à des équipements de pointe et les approches novatrices peuvent vous faire gagner un temps précieux, et donc de l’argent.
Pourquoi c’est une mauvaise raison ?
Certes, la patience est une vertu, mais cela ne signifie pas que les projets académiques sont synonymes de lenteur. Avec une gestion rigoureuse et des jalons bien définis, ces collaborations peuvent être très efficaces et produire des résultats qui dépassent vos attentes. L’approche rigoureuse des chercheurs peut même vous offrir des solutions innovantes et durables. Un investissement temporel qui en vaut la peine.
Ne laissez pas les idées reçues vous freiner ! Quel que soit votre objectif, vos moyens ou vos contraintes, il existe une solution pour collaborer efficacement avec la recherche. La collaboration académique n’est pas une montagne insurmontable, mais bien une opportunité en or pour booster votre innovation et votre compétitivité.
Pour finir de vous convaincre, participer à notre webinaire : Comment collaborer avec la recherche ? Organisé le 15 octobre à 11h00, nous parcourrons de manière très pratique les différents modes de collaboration entre entreprise et recherche
Inscrivez vous : https://app.livestorm.co/hdfid/collaborer-avec-la-recherche?type=detailed
Vous avez un projet d’innovation ou un besoin d’expertise ?
Vous envisagez un partenariat avec la recherche et avez besoin de conseils ?
L’équipe EUROPE RECHERCHE INNOVATION de HDFID est là pour vous accompagner.
Contactez-nous ! à l’une de ces adresses : europe@hautsdefrance-id.fr / abeague@hautsdefrance-id.fr
Avec la loi de finances 2022, un nouveau crédit d’impôt fait son entrée pour booster les collaborations entre entreprises et laboratoires académiques pour compenser le doublement des factures de sous-traitance des organismes publics de recherche dans l’assiette du CIR. Bienvenue au Crédit d’Impôt Collaboration (CRC) ! Plongeons dans les détails de ce dispositif essentiel pour rapprocher laboratoires et entreprises en quelques questions.
Toutes les entreprises industrielles, commerciales, artisanales et agricoles, peu importe leur forme juridique ou taille, à condition d’être soumises au régime réel d’imposition, automatiquement ou sur option. Le contrat de collaboration doit être signé avec un ORDC entre le 1er janvier 2022 et le 31 décembre 2025.
Pour faire qualifier votre établissement comme ORDC suivez la procédure du MESR consultable via ce lien
Les opérations éligibles sont les mêmes que celles du CIR :
Ces recherches doivent se dérouler dans l’UE ou un État membre de l’Espace économique européen avec une convention d’assistance administrative contre la fraude et l’évasion fiscale.
Pour être éligibles, les dépenses doivent être facturées par l’ORDC et inclure :
Les montants facturés sont réduits des aides publiques à la recherche et l’innovations perçues.
Pour obtenir le crédit d’impôt, l’entreprise doit remplir une déclaration selon son régime d’imposition :
Le crédit d’impôt est calculé sur les dépenses de l’année civile :
La transition est un sujet brûlant tant pour la société civile que pour le monde de la recherche. Les thématiques de recherche sont variées, les défis nombreux et pluridisciplinaire. Cette journée sera l’occasion d’échanges, de panorama et de prospectives sur les expertises régionales mais aussi les formations des Universités de la Région
Matinée
Introduction, objectifs, contexte, par les présidents des 5 universités
Panorama des enjeux de la transition énergétique en France et en Hauts de France
Table ronde sur les défis de la transition énergétique en termes de recherche, innovation, et formation pour les Universités et grandes écoles des Hauts de France
Après-midi
Synthèse des forces en recherche des universités et des écoles des Hauts de France sur les thématiques :
Production, stockage, combustion de l’hydrogène
Energie nucléaire
Energie électrochimique
Energies renouvelables
Conversion et gestion de l’énergie électrique
Socio-Economie de l’énergie
Matériaux pour l’énergie
Panorama des formations proposées par les universités et écoles des Hauts de France.
Table ronde de synthèse : quelle attractivité pour le territoire ?
Plus d’information : https://nextcloud.univ-lille.fr/index.php/s/Ynw6Le8irp65yJs
Vous êtes conviés à l’évènement Rencontres Entreprises – Recherche pour la Transition écologique en partenariat le CPER ERIN. Nous vous proposons une après-midi de rencontres pour explorer ensemble des défis majeurs pour construire le monde de demain et de stimuler des échanges enrichissants. Entrepreneurs, porteurs de projets, chercheurs nous vous attendons pour des échanges techniques passionnant autour de 3 thématiques clés :
🗓️ Date : 4 juin 🕧 Horaire : 12h30 – 17h00 📍 Lieu : Louvre-Lens
Après un cocktail déjeunatoire d’ouverture pour briser la glace et échanger, les échanges se dérouleront en 3 temps :
Pour vous inscrire : https://forms.office.com/e/QcMbTUxx2S
La 13e vague du concours d’innovation est ouverte. Les projets éligibles peuvent être déposés jusqu’au 2 avril 2024. Le concours d’innovation opéré par la BPI et l’ADEME est dédié aux projets innovants mono-partenaires portés par des startups et PME et conduisant à favoriser l’émergence accélérée d’entreprises leaders dans leur domaine. Il fait partie de France 2030 et identifier des projets d’innovation à haut potentiel pour l’économie française, dans le but ultime de positionner la France en tant que leader mondial en matière de création, d’accélération du développement et de la mise sur le marché de solutions innovantes, à fort contenu technologique.
Pour candidater, les projets doivent
Les lauréats bénéficieront d’une intervention publique sous la forme d’un co-financement d’un maximum de
Ce financement se constitué à 75% de subvention et 25% d’avances récupérables.
Le dossier de candidature complet est à déposer sur la plateforme Bpifrance avant le 2 avril 2024 à 12h00 (heure de Paris).
Télécharger le cahier des charges
Télécharger le dossier de candidature
Vous n’êtes pas éligibles mais vous portez un projet innovant et rechercher un accompagnement ou des financements, l’un des autres volets de concours d’innovation France 2030 peut correspondre à votre besoin
Vous êtes un jeune chercheur porteur d’un projet entrepreneurial mobilisant une technologie de rupture ? Evaluez votre éligibilité à i-PhD et candidatez pour bénéficier de coaching, de voyage d’étude ou encore de formation et d’un accès privilégié au réseau BPI France.
Vous avez un projet de création d’entreprise de technologies innovante sur le territoire français ou vous avez créé votre entreprise depuis moins de 2 ans ? Votre projet, jusqu’à 1M€ de budget, est peut-être éligible au 3e volet du dispositif, le concours d’innovation I-lab. Les lauréats peuvent obtenir jusqu’à 600K € de subvention pour mener à bien leur projet.
Dans le cadre de son ambition de contribuer au rayonnement de la Recherche régionale, sur le territoire et au-delà, la Région Hauts-de-France un dispositif visant à soutenir l’organisation de manifestations scientifiques et l’édition scientifiques. L’objectif est triple :
Colloques, symposia et les écoles thématiques se tenant en Hauts-de-France :
Plus d’informations : https://aides.hautsdefrance.fr/sub/tiers/aides/details/?sigle=MSPA
Colloques, symposia et les écoles thématiques se tenant en Hauts-de-France et répondants aux critères suivants :
Plus d’information : https://aides.hautsdefrance.fr/sub/tiers/aides/details/?sigle=MSGA
Le demandeur devra remplir sur le progiciel Galis, un dossier de demande de subvention type selon les modalités qui lui seront indiquées et transmettre l’avis de l’instance décisionnelle de l’établissement de gestion et toute pièce administrative et financière nécessaire. Le bénéficiaire s’engage à faire parvenir au service Recherche de la DRESS l’invitation liée à la manifestation scientifique en question.
Ce dispositif est permanent. Les demandes sont instruites en quatre sessions par an :
La décision d’octroi de l’aide régionale sera rendue par la Commission permanente du Conseil Régional, dans la limite du budget alloué au dispositif.
La publication et la diffusion d’ouvrages originaux, ouvrages collectifs, monographies, articles scientifiques, numéros spéciaux de revue en version imprimée ou en ligne. Cependant sont exclus les projets de publication de thèse , de mémoire ou d’actes liés à une manifestation scientifique ayant bénéficié d’une aide de la Région. De même, les mises à jour, retirages ou rééditions d’ouvrages ne sont pas éligible à ce dispositif.
Le bénéficiaire devra remplir sur le progiciel Galis, un dossier de demande de subvention type selon les modalités qui lui seront indiquées. Les demandes pourront être déposées sur le progiciel Galis au fil de l’eau.
Le choix de l’éditeur devra se faire prioritairement en région Hauts-de-France.
La décision d’octroi de l’aide régionale sera rendue par la Commission Permanente du Conseil Régional, dans la limite du budget alloué au dispositif.
Plus d’information : https://aides.hautsdefrance.fr/sub/tiers/aides/details/?sigle=EDSC
La veille est une étape clés dans la construction d’un projet innovant et de son succès. En effet, ce processus vous permet de nourrir votre réflexion et d’assurer l’adéquation de votre stratégie avec le contexte réglementaire et commercial. Au cours de ce webinaire, nous parcourrons avec des spécialistes du sujet les enjeux de ce pilier de l’intelligence économique, les bonnes pratiques ou encore les outils disponibles.
le 17 janvier de 11h00 à 12h30
Visionner en replay : https://youtu.be/xQLTJ6e6b18
Au cœur de la démarche scientifique, l’état de l’art est un exercice particulier. Lors de la construction de votre projet innovant, l’exercice de la candidature à un appel à projet est presque incontournable. Or, dans ces dossiers il est important d’établir un index des connaissances disponibles dans votre domaine. Cependant, les attendus de cet exercice diffèrent sensiblement d’un état de l’art purement académique.
Ce webinaire a pour objectif de vous communiquer les clés pour établir un état de l’art adapté à un appel à projet et ainsi maximiser vos chances de succès.
14 février de 11h00 à 12h30
Replay : https://youtu.be/TO8Fk_03q7A
17 avril de 11h00 à 12h30
Pour faire de votre invention une innovation à succès, permettez lui de rencontrer le bon marché, en abordant les points clés pour
Etudier, en profondeur, les différents aspects du marché visé est une étape clé pour faire de votre projet d’innovation un succès. Ne manquez pas ce webinaire et l’opportunité d’acquérir les bons réflexes à adapter au moment d’établir votre modèle d’affaire et votre stratégie commerciale
Inscription gratuite et obligatoire : https://www.youtube.com/watch?v=5d_aKkQDE18
15 mai de 11h00 à 12h30
Etape indispensable de votre projet, ce document renferme quelques rubriques à préparer avec attention. Ce dossier doit vous permettre de synthétiser vos recherches et votre stratégie de développement. Le business plan vous accompagne et évolue tout au long de votre entreprise entrepreneuriale. Nous parcourrons donc les attendus d’un executive summary, d’un prévisionnel financier ou encore le business plan.
Inscription gratuite et obligatoire : https://youtu.be/KJhcpq4Vzyk
En complément de ce webinaire, nous vous proposons une table ronde en présentiel afin de vous partager les bonnes pratiques nécessaires à la construction de relations pérennes avec vos partenaires. Cette dernière étape de votre projet est primordiale. Ainsi les intervenants traiteront des sujets suivants :
Au programme :
📍 Lieu : INPI, Boulevard CARNOT à Lille.
📅 Date : 21 juin dès 9h00